Ces Autolib’ sont les plus anciennes de la flotte. Elles devraient être détruites mais les batteries seront démontées auparavant car elles représentent un véritable enjeu financier pour Bolloré. Les autres Bluecar seront recyclées ou vendues.
Enfin, rappelons qu’à l’origine de ce fiasco, Bolloré a demandé 233 millions d’Euros au Syndicat Autolib’ Velib’ Métropole (SAVM) pour combler les pertes du service. Le SAVM a ensuite résilié le contrat avec Bolloré.
Source et photos : La Nouvelle République
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