– Conseil numéro 1 : n’hésitez pas à changer d’assureur et de formule
En matière d’assurance auto, les conducteurs ont l’embarras du choix entre les assureurs, et les différentes formules proposées. Les besoins de chacun sont différents, en fonction de l’usage que l’on fait de son véhicule, de son passé de conducteur, et du véhicule en lui-même. Pour être certain d’opter pour les meilleures options, il est utile de faire un point régulièrement sur ses attentes en matière d’assurance auto. Un nouvel emploi, un déménagement, un départ à la retraite, une nouvelle voiture…. Elles peuvent évoluer très rapidement. Il ne faut pas non plus hésiter à changer d’assureur. Grâce à la loi Hamon, on peut le faire sans motif dès que son contrat a plus d’un an.
– Conseil numéro 2 : limitez-vous aux garanties dont vous avez vraiment besoin
Si vous ne roulez pas beaucoup, ce serait dommage de payer autant que quelqu’un qui fait plus de 25 000 km par an. Ceux qui roulent moins de 6 000 km par an ont tout intérêt à prendre une assurance véhicule qui encourage les comportements écologiques. Dans ces cas-là, les conducteurs qui s’engagent à réduire leur empreinte carbone bénéficient de nombreux avantages et réductions tarifaires.
– Conseil numéro 3 : ne prenez pas l’assurance véhicule la plus chère les yeux fermés
En plus des trois formules de base (tiers, tiers étendue, ou tous risques standard), certains assureurs offrent une formule plus complète encore, à l’image du Crédit Mutuel Nord Europe, avec sa formule Tous Risques Optimale (formule Tous Risques Standard + Stage de récupération de points + Réparations accélérées dans leur réseau agréé + Maintien du tarif en cas de sinistre responsable si le bonus est de 0,50 depuis plus de 3 ans).
Beaucoup de conducteurs estiment cependant que l’assurance tous risques leur suffit. Certains, avec une petite voiture d’un certain âge, se contentent d’une formule plus basique, comme la formule tiers. A chacun ses besoins…
– Conseil numéro 4 : méfiez-vous des restrictions
Attention, les assureurs appliquent des franchises (sommes pouvant rester à la charge de l’assuré). Elles concernent, entre autres, les garanties vol, incendie et bris de glaces, et les dommages subis par votre véhicule. Certains assureurs ne reconnaissent pas les vols sans effraction, pourtant fréquents de nos jours, en utilisant des outils électroniques pour de démarrer la voiture sans en avoir les clés. Enfin, une franchise peut s’appliquer aussi en cas de prêt de volant.
La rédaction
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