Alain Thébault et Anders Bringdal, ont ainsi annoncé qu’ils allaient avancer avec la Suisse et non Paris pour proposer le projet des “Sea Bubbles” plus communément appelées” “taxis volants”. Les “vieilles règles” qui régissent la navigation sur la Seine ont eu raison du déploiement d’un réseau Sea Bubble.
Plus précisément, le loyer de 1 000 €, l’absence de branchement pour recharger ces “petits hydroptères” électriques et la vitesse limitée sur le fleuve parisien sont les principaux obstacles à leur “débarquement” dans la capitale.
En Suisse, dès avril 2018, ces “taxis volants” seront au nombre de 5 entre Genève et une commune proche. Pour Paris, il va falloir attendre longtemps.
La rédaction
Photos : Sea Bubbles
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