Le Championnat du Monde de Formule 1 2021 est marqué, avant même le premier Grand Prix, par l’arrivée de Sebastian Vettel chez Aston Martin Racing. Après avoir piloté pendant six saisons une monoplace rouge, le pilote allemand a donc quitté la Scuderia Ferrari avec laquelle il semblait entretenir des rapports assez tendus ces derniers mois. Outre-Manche, Vettel met en vente huit de ses voitures personnelles dont cinq Ferrari : LaFerrari (2016), Enzo (2004), F50 (1996), Ferrari F12tdf (2016), 458 Speciale (2015). Faut-il donc y voir un lien de cause à effet ?
Attention, à l’heure où nous écrivons ces lignes, les Ferrari appartenant toujours ou ayant appartenu à Sebastian Vettel semblent attirer de nombreux acheteurs. En effet, c’est la raison pour laquelle nous employons le passé car, parmi les cinq Ferrari citées en introduction, la LaFerrari et la F50 ont d’ores et déjà trouvé preneur. Quant aux F12tdf et 458 Speciale, des offres ont également été réalisées pour ces deux super-sportives. Seule la Ferrari Enzo est encore donc en vente.
Ces cinq Ferrari sont toutes en parfait état, certaines n’affichant que très peu de kilomètres à leur compteur. La fiche présentant la Ferrari LaFerrari indique ainsi un kilométrage de 304 miles (490 km). Concernant la Ferrari F50, Sebastian Vettel en a profité beaucoup plus : 4 312 miles (6 939 km).
Concernant les F12tdf, 458 Speciale et Enzo, elles affichent respectivement 738 miles (1 187 km), 1 905 miles (3 065 km) et 1 112 miles (1 789 km).
En termes de tarifs et, d’après certaines sources, la F12tdf aurait été vendue aux alentours de 725 000 £ (environ 834 400 €).
Trois autres voitures non moins exceptionnelles faisant partie du « garage de rêve » de Sebastian Vettel sont également en vente : Mercedes-Benz SL 65 AMG Black Series (2009), Mercedes-Benz SLS AMG (2010) et BMW Z8 (2002).
L’une des voitures de James Bond (Le monde ne suffit pas – The World Is Not Enough – 1999) est donc disponible à la vente. Pour les intéressés, il suffit de cliquer sur le lien suivant pour faire une offre : Tom Hartley Jnr.
Enfin, pour (re)découvrir les premiers pas de Sebastian Vettel chez Aston Martin Racing, c’est ici.
La rédaction
Photos : Tom Hartley Jnr