La Principauté de Monaco est, ces derniers jours, celle de « tous les malheurs » pour les pilotes de Formule 1. Distrait, peut-être par son chien tout mignon, un teckel au nom de « Léo », Charles Leclerc a eu un petit accrochage, au volant de sa Ferrari Purosangue.
Après la panne soudaine de l’Aston Martin Valkyrie livrée, juste avant, à Monaco, à Fernando Alonso, c’est donc au tour de Charles Leclerc de se faire remarquer, chez lui, là où il a remporté le GP de Monaco 2024. Dans la circulation, à très faible vitesse et au plus près d’un vibreur, Charles Leclerc a tamponné, au volant de sa Ferrari Purosangue de fonction, l’arrière d’un véhicule. Cela n’a pas échappé à un touriste, ou un passant, qui a filmé cet accident. C’est à voir en cliquant sur « Play » ci-dessous. Si la vidéo en question ne s’affiche pas sur le navigateur web de votre ordinateur, tablette ou smartphone, cliquez ici pour accéder directement à Instagram.
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Rappelons que la Ferrari Purosangue, dont le constructeur automobile italien refuse de la présenter en tant que SUV, développe 725 ch (7 750 tr/min) et 716 Nm de couple (à 6 250 tr/min) issus d’un V12 6.5 l atmosphérique au nom de code « F140IA ». Précisons que, dès 2 100 tr/min, 80% du couple du SUV Ferrari sont disponibles et que le régime maximal du V12 est de 8 250 tr/min. Les ingénieurs basés à Maranello ont utilisé des technologies venues tout droit de la Scuderia Ferrari pour développer le V12. Ce dernier est situé en position centrale-avant. La transmission aux 4 roues directrices est assurée par une une boîte de vitesses à double embrayage (8 rapports) placée, cette fois, à l’arrière. Ainsi, le SUV Ferrari affiche une répartition des masses quasi parfaite de 49/51%.
Enfin, « jamais deux sans trois » ! Après Fernando Alonso et Charles Leclerc, tous deux « en galère » en Principauté de Monaco, qui sera le prochain pilote de F1 à être touché par « la malédiction du rocher ».
La rédaction
Photos : captures d’écran Instagram