En 1996, le Ministre des Transports, Bernard Pons, s’était exprimé sur la politique à tenir concernant les contrôles de vitesse et, sur un plan plus général, sur la trop forte répression mise en place contre les automobilistes. Il en a résulté une transparence totale de l’Etat sur les radars.
Ainsi, les forces de l’ordre avaient pris l’habitude de communiquer les emplacements des radars mobiles dans les journaux et aux radios. Jean Fournier-Perilhou, conseiller de l’Automobile Club national avait même fait le constat qu’une répression masquée semblait inefficace…
Source et vidéo : INA